dimanche 13 juin 2004

Poupée de cire, poupée de...

Viens dans mes bras. J'ai envie de te sentir respirer tout contre moi. La douceur innocente de ton âme enfantine me fait du bien. Ton aura naturelle me calme et me rassure. Je ne suis plus un monstre quand tu m'enlaces. Tes cheveux de soie sont si doux au toucher... J'aimerai pouvoir en garder une mèche toujours avec moi comme pour sentir ta présence dans ma poche. Tu ne m'en veux pas ? Je suis trop brutal ? Je ne devrai pas dire des choses comme ça. Pour moi, tu resteras toujours auprès de moi. Même lorsque tu t'énerves et que tu cries après moi. Je t'aime. Je te veux. Je te désire plus que tout.
Oh ma chère et tendre amour... Tu te rappelles à la piscine, quand je veillais sur toi ? Je te regardais avec tellement d'attention. Amoureusement, chacun de tes gestes décomposés au gré de mon humeur. J'aurai voulu que cela dure.
Je t'ai surprise la première fois que je t'ai enlevé au monde banal. Tu ne t'attendais pas à tant de fougue de la part d'un homme aussi mur que moi. Ma voiture n'était pas confortable. C'est vrai qu'on n'est pas très à l'aise à l'arrière... Mais avoue que c'était sympathique...
J'adore nos balades en forêt. Quand on se cache parmi les arbres. Tu cours si vite ! Tu te rappelles quand tu avais déchiré ta robe dans ta folle élancée. Tu étais si belle. Tu me surprends à chaque fois quand tu t'époumones... On y croirait presque. Tu n'aimes pas ce que je te dis mon amour ? Tu ne dis plus rien. C'est encore ton cou qui se détache... Ce scotch décidément...

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